Un étudiant a mis au point un robot-avocat qui semble être très bon dans sa tâche, puisque de très nombreux PV ont été invalidés par la just...
Un étudiant a mis au point un robot-avocat qui semble être très bon dans sa tâche, puisque de très nombreux PV ont été invalidés par la justice américaine grâce à lui.
Ce robot-avocat est en réalité un bot, un programme informatique relativement complexe et très intelligent, capable d’assumer le rôle d’un avocat. Il peut bâtir une argumentation digne d’un bon avocat, pour justifier ou expliquer la situation, afin qu’un tribunal puisse statuer.
Et si demain, c’était un robot-avocat qui faisait sauter vos PV ?
Joshua Browder, l’étudiant britannique scolarisé à l’université de Stanford aux États-Unis qui est à l’origine de ce robot-avocat, a travaillé sur ce concept en découvrant qu’un grand nombre de personnes ne font pas le choix de passer par un avocat pour contester une infraction, uniquement pour le coût que cela représente d’un point de vue financier.
Il a confié : « c’est un robot avocat. […] Le site effectue de nombreuses tâches de manière automatique et parle à l’utilisateur comme un vrai avocat. […] Il utilise un algorithme qui combine l’ordre des mots, des mots-clé et des pronoms pour identifier ce que l’utilisateur est en train de dire. […] Si le robot ne comprend vraiment pas, il va générer un message d’encouragement générique et, à ce moment-là, j’en serai alerté pour m’assurer que le problème ne se répétera pas dans le futur ».
Concrètement, ce robot pose des questions pour comprendre la situation et à travers ce jeu de question-réponse couplé à ses connaissances légales, il va pouvoir rédiger une lettre de réclamation avec une solide justification, qui pourra être envoyée au tribunal. Preuve que le système de ce robot avocat fonctionne, il a déjà permis de faire économiser trois millions de dollars aux automobilistes américains en quelques mois d’existence, alors qu’il n’est qu’en phase expérimentale ! Son créateur évoque déjà un développement dans plusieurs pays, comme les USA, le Mexique et le Canada pour commencer.
De plus, le bot est tellement perspicace qu’il permet aussi d’obtenir des remboursements dans d’autres cas, comme des retards ou des annulations en train et en avion. Il ne fait aucun doute que ce genre de bot devrait rapidement intéresser de nombreuses sociétés pour renforcer leur arsenal judiciaire ou certains cabinets d’avocats pour offrir des services efficaces, mais low-cost à leurs clients.
Ce robot-avocat est en réalité un bot, un programme informatique relativement complexe et très intelligent, capable d’assumer le rôle d’un avocat. Il peut bâtir une argumentation digne d’un bon avocat, pour justifier ou expliquer la situation, afin qu’un tribunal puisse statuer.
Et si demain, c’était un robot-avocat qui faisait sauter vos PV ?
Joshua Browder, l’étudiant britannique scolarisé à l’université de Stanford aux États-Unis qui est à l’origine de ce robot-avocat, a travaillé sur ce concept en découvrant qu’un grand nombre de personnes ne font pas le choix de passer par un avocat pour contester une infraction, uniquement pour le coût que cela représente d’un point de vue financier.
Il a confié : « c’est un robot avocat. […] Le site effectue de nombreuses tâches de manière automatique et parle à l’utilisateur comme un vrai avocat. […] Il utilise un algorithme qui combine l’ordre des mots, des mots-clé et des pronoms pour identifier ce que l’utilisateur est en train de dire. […] Si le robot ne comprend vraiment pas, il va générer un message d’encouragement générique et, à ce moment-là, j’en serai alerté pour m’assurer que le problème ne se répétera pas dans le futur ».
Concrètement, ce robot pose des questions pour comprendre la situation et à travers ce jeu de question-réponse couplé à ses connaissances légales, il va pouvoir rédiger une lettre de réclamation avec une solide justification, qui pourra être envoyée au tribunal. Preuve que le système de ce robot avocat fonctionne, il a déjà permis de faire économiser trois millions de dollars aux automobilistes américains en quelques mois d’existence, alors qu’il n’est qu’en phase expérimentale ! Son créateur évoque déjà un développement dans plusieurs pays, comme les USA, le Mexique et le Canada pour commencer.
De plus, le bot est tellement perspicace qu’il permet aussi d’obtenir des remboursements dans d’autres cas, comme des retards ou des annulations en train et en avion. Il ne fait aucun doute que ce genre de bot devrait rapidement intéresser de nombreuses sociétés pour renforcer leur arsenal judiciaire ou certains cabinets d’avocats pour offrir des services efficaces, mais low-cost à leurs clients.
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